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Addictions (7)

19 Décembre 2020 , Rédigé par Simpl'etsens Publié dans #Dossier

Addictions (7)

Et, J'en viens au sucre...

Le sucre doit être considéré comme une substance aussi addictive que les drogues...

Après avoir analysé une soixantaine d'études sur le sucre, les deux spécialistes américains ont conclu que "la consommation de sucre produit des  effets similaires à la consommation de cocaïne, notamment parce qu'elle altère l'humeur, possiblement parce qu'elle induit le plaisir et (active le mécanisme du cerveau de) la récompense, ce qui provoque la recherche du plaisir.

En plus de ses effets propres, c'est également une porte d'entrée à d'autres substances addictives comme l'alcool, et son procédé d'extraction en raffinerie pour créer une cristallisation n'est pas sans rappeler celui de la cocaïne et de l'opium. 

Clémentines confites...

Clémentines confites...

Ces conclusions sont toujours critiquées par d'autres chercheurs. En effet, si les milieux scientifique et médical s'accordent sur les dangers liés à la surconsommation de sucre, certains rappellent que ses effets n'ont rien à voir avec ceux des stupéfiants comme la cocaïne.

Deux chercheurs de l'Université de Cambridge affirment également qu'il n'y a rien d'étonnant à ce que le sucre et la cocaïne activent le même (mécanisme de récompense" du cerveau. "Les circuits qui contrôlent les comportements alimentaires sont les mêmes que ceux qui réagissent à la consommation de drogue. sauf que, contrairement au sucre, les drogues semblent pirater ces systèmes et les détourner de leur fonctionnement normal", expliquent-ils.

Meringue...

Meringue...

Le comportement alimentaire se repose sur deux composantes. L'une est métabolique (il faut manger pour avoir de l'énergie) et l'autre est hédonique (plaisir de manger et fonction sociale). Dans notre société actuelle, la composante hédonique prend le pas sur la composante métabolique. Les personnes sujettes à l'"addiction au sucre" se mettent alors à manger de manière compulsive, mais cette compulsion n'a pour l'instant pas l'ampleur de celle provoquée par l'héroïne ou le crack.

Leurs études réalisées sur des souris démontrent que les rongeurs ne vont pas réclamer de sucre si on associe leur consommation à un stimulus négatif, comme un choc électrique, ce qui se vérifie par contre avec la cocaïne.

Sans dénigrer l'impact négatif de l'excès de sucre sur la santé, le phénomène d'addiction à proprement parler serait donc une fois de plus plutôt comportemental. La question est de savoir s'il s'agit d'un dysfonctionnement du plaisir ou de la motivation. Pour l'instant, selon le manuel de l'Association américaine de psychiatrie, une référence pour définir les maladies mentales, il est encore trop tôt pour établir de façon définitive une conclusion sur le sucre.

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Addictions (6)

17 Décembre 2020 , Rédigé par Simpl'etsens Publié dans #Dossier

Addictions (6)

Le café

Dans le cas du café, on peut parler d'une drogue lorsque l'on en consomme beaucoup, surtout si l'on consomme également du thé, du Red Bull, etc. Mais c'est une drogue avec peu de méfaits.

La caféine est un psychotrope. comme tous les psychotropes, elle agit sur certains récepteurs de notre cerveau. Sa structure est proche de l'adénosine, un neurotransmetteur qui a pour rôle de protéger le cerveau en ralentissant l'activité nerveuse, de manière à nous faire entrer dans un état de somnolence. Ce neurotransmetteur dilate également nos vaisseaux sanguins pour permettre une meilleure oxygénation du cerveau durant le sommeil. Comme la caféine possède une structure similaire à celle de l'adénosine, elle se fixe sur les mêmes récepteurs et empêche l'entrée en veille et en somnolence. Au lieu de ressentir une fatigue progressive, après avoir bu une tasse de café, notre métabolisme s'active et nos vaisseaux sanguins se contractent. Ce phénomène nous tient éveillés et stimule dans le même temps notre production d'adrénaline et de dopamine.

 

Addictions (6)

Si le syndrome de sevrage est réel, le terme d'addiction est abusif. Astrig Nehlig (directrice de recherche à l'INSERM, spécialiste du café), explique que "la dépendance au café n'existe pas" car l'impact du café sur le circuit de récompense n'est pas direct.

En revanche, il existe un phénomène de sevrage réel causé par l'évacuation des toxines qui se manifeste chez 10% de la population par des malaises et des maux de tête. L'importance de son impact social est également à prendre en compte. Le café incarne un message important de convivialité et de partage, en particulier dans le monde de l'entreprise où il est synonyme de "pause" et d'échanges stimulants. C'est un réel élément de partage, dont la signification sociale dépasse souvent la simple volonté de l'"effet boost". La dépendance au café est plutôt comportementale. Réduire sa consommation de café peut être perçu comme un refus de connexion et de partage social, une impolitesse, un isolement. Lors d'un sevrage, il faut bien prendre cette dynamique en compte, en proposant des boissons alternatives ayant la même fonction sociale.

À suivre...

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Addictions (5)

16 Décembre 2020 , Rédigé par Simpl'etsens Publié dans #Dossier

Addictions (5)

Les médicaments

Près de 4 millions de Français consomment régulièrement des médicaments alors que leur prescription ne devrait pas dépasser quelques semaines. dans certains cas, la consommation est le fait d'une addiction concernant un antalgique (famille de dépresseurs) ou un stimulant.

La dépendance aux médicaments est surtout conditionnée par une dépendance psychique. Comme toute addiction, elle provoque des symptômes de manque et une perte du contrôle comportemental qui pousse à renouveler les prises. La consommation devient alors compulsive, quelles que soient les conséquences, car le sujet cherche à anticiper l'apaisement d'une douleur physique ou psychiqe. sa vie devient ritualisée et rythmée par la prise du médicament. Dans certains cas, comme pour la morphine, la prise induit en plus une phénomène d'accoutumance qui pousse à augmenter le dosage en permanence pour obtenir les mêmes effets.

Les symptômes physiques apparaissent surtout avec les benzodiazépines et les morphiniques lors du sevrage (complet ou partiel). Les benzodiazépines sont surtout utilisées comme anxiolytiques et/ou hypnotiques, parfois également comme relaxants musculaires. leur sevrage peut provoquer des insomnies, de l'anxiété, des contractures et dans certains cas, si le sevrage est trop brutal, déclencher des crises d'épilepsie.

Les morphiniques aussi utilisés comme antalgiques favorisent également la constipation et bloquent les systèmes biologiques du stress. Leur sevrage entraine donc possiblement des diarrhées, un état de stress psychique et physique et des douleurs diffuses.

Addictions (5)

La dépendance psychique induit une altération du fonctionnement neuronal, en particulier au sein du circuit de la récompense. L'absence du médicament produit un manque, un mal-être, une anxiété et peut aller jusqu'à induire une dépression qui pousse à consommer de nouveau.

Cette dépendance comporte aussi une dimension comportementale. sa consommation est ancrée dans certaines habitudes ("réflexe pavlovien") et le médicament dépasse sa fonction première de soin pour être consommé pour le plaisir et/ou le soulagement qu'il provoque. Cet aspect comportemental ritualisé favorise les rechutes, même plusieurs années après l'arrêt du médicament.

Lors d'un sevrage, un accompagnement médical et psychologique est obligatoire pour éviter les complications du sevrage et les rechutes. Le sevrage doit être planifié, idéalement en période favorable. Il peut être plus ou moins rapide, se faire en consultation ou nécessiter une hospitalisation. Tout dépend du ou des médicaments consommés, de leurs doses, des autres consommations et du risque médical.

 

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Addictions (4)

15 Décembre 2020 , Rédigé par Simpl'etsens Publié dans #Dossier

Cocaïne

Cocaïne

Les drogues...

La majorité des drogues sont des produits illicites étrangers au corps, de la famille des alcaloïdes. On les appelle psychotropes car ils ont un impact sur le système nerveux; Selon le pharmacologue Louis Lewin, il en existe 5 types: les stimulants, les hallucinogènes, les enivrants, les euphorisants et les tranquillisants.

La classification de Thuillier et Pelicier les réduit en 3 groupes.

1 - Les stimulants, qui stimulent le système nerveux et favorisent l'état de veille. Ils apportent un sentiment de contrôle de soi et d'augmentation des facultés, mais sont également à l'origine de grandes fatigues, de dépression importante et de paranoïa. Ils regroupent entre autres, le tabac, la cocaïne, l'ecstasy, le GHB, les amphétamines,,etc.

Champignons hallucinogènes

Champignons hallucinogènes

2 - Les hallucinogènes, qui modifient la perception de la réalité, de l'espace et du temps et déclenchent une hypersensibilité aux sons et aux couleurs. Cependant, le système nerveux s'en trouve irrémédiablement perturbé. Ils regroupent entre autres, le cannabis, le LSD, les colles et solvants, la kétamine, les champignons, etc.

La morphine

La morphine

3 - Les dépresseurs, qui sont eux des inhibiteurs ralentissant le système nerveux. Ils apportent une sensation de rêve et perturbent la vigilance, ce qui peut amener jusqu'à la détresse respiratoire et l'arrêt cardiaque. Ils regroupent entre autres, les alcools, les barbituriques, l'héroïne, les benzodiazépines, les tranquillisants, la morphine, la codéine, etc.

Chacune de ces drogues présente un potentiel de nuisance dans les domaines de l'addiction, de l'intoxication, de l'agression et de la détérioration du métabolisme. L'impact social n'est pas non plus à négliger.

À suivre...

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Addictions (3)

13 Décembre 2020 , Rédigé par Simpl'etsens Publié dans #Dossier

Addictions (3)

L'alcool...

... touche à l'heure actuelle 2 millions de personnes qui en sont dépendantes en France.

L'alcoolisme se caractérise par une perte du contrôle de la consommation quotidienne et un état de dépendance. Il peut être mondain, festif, domestique, professionnel, etc.

sa consommation entraîne une modification du comportement

- modification de l'état de conscience

- diminution des inhibitions et des états d'angoisse

- passivité ou agressivité excessives

- oubli de l'état dépressif et de stress

L'alcoolique est souvent persuadé de passer inaperçu et est souvent dans le déni de sa dépendance. Être alcoolique ne signifie pas être en état d'ivresse permanent. L'alcool pose problème bien avant l'ivresse, ce qui rend sa prévention difficile à réaliser.

 

Addictions (3)

Donner des repères de consommation au quotidien, peut être intéressant, car l'alcool se retrouve très facilement sur la table. La consommation commence à être considérée comme importante à partir de :

- chez l'homme: 3 verres d'alcool par jour maximum(soit 36 grammes d'alcool pur)

- chez la femme: 2 verres d'alcool par jour maximum (soit 24 grammes d'alcool pur).

Les conséquences d'une surconsommation peuvent être des nausées, vomissements et diarrhées, des tremblements du matin dus au manque et une érythrose (visage rouge).

Si la consommation persiste, des problématiques atteignant le foie apparaissent comme la jaunisse, l'hépatite, la cirrhose, etc. Les troubles peuvent également atteindre le système nerveux en causant des dépressions profondes, des amnésies rétrogrades, des crises d'épilepsie, etc.

Voici quelques questions à se poser:

- Est-ce que je bois tous les jours? Est-ce un réflexe?

- Est-ce que je bois seule? Est-ce que je cherche toujours une bonne raison de boire?

- Est-ce que boire m'aide à me sentir mieux?

- Est-ce que je commence à boire de plus en plus tôt dans la journée?

- Est-ce que ma consommation d'alcool m'a déjà fait prendre des risques (black-out, conduite en état d'ivresse, violence, accidents, etc)?

- Est-ce que je tente de cacher aux autres ma consommation d'alcool?

- Est-ce que je peux passer une semaine sans boire?

Si vous avez répondu "oui" à deux ou trois questions,il faut commencer à réfléchir à votre consommation d'alcool. Si il y a plus de réponses positives, il faut en parler à votre médecin.

Addictions (3)

Le vin rouge présente une composition des plus complexe avec environ 250 éléments différents: tanins, vitamines, oligoéléments, mucilages, polyphénols, etc. On connait les nombreuses vertus du vin rouge pour la santé: diminution de la pression artérielle, protection contre les accidents cardiovasculaires, effet anticancer, etc. Il constitue le fameux paradoxe français.

Mais, en dépit de ses nombreuses vertus, le vin rouge est à consommer avec modération et il faut préférer le bio à l'industriel. Les effets délétères d'une consommation excessive sont bien établis. Consommé en excès, c'est un véritable poison alimentaire. C'est le foie qui prends en charge l'élimination de l'alcool, le reste est évacué par les poumons, les reins et la peau.

Addictions (3)

Les effets toxiques de l'alcool concernent principalement

- Le cerveau et le système nerveux: l'alcool vient se fixer sur les neuro-récepteurs, si bien que les messages nerveux ne passent plus normalement: trouble des réflexes, perte de l'équilibre, etc.

- Le foie: la capacité moyenne d'élimination par le foie d'un homme adulte est d'environ 7 grammes d'alcool par heure. sachant qu'un verre contient  10 grammes d'alcool, il faut 1:30 environ pour l'éliminer. On considère généralement que les hommes peuvent métaboliser 3 verres d'alcool per jour et les femmes 2 verres. Au-delà, la prise d'alcool inhibe le fonctionnement correct du foie avec apparition d'atteinte hépatique et de cirrhose. Mais avant d'être éliminé,,l'alcool va produire des métabolites qui acidifient l'organisme.

- Le coeur: l'alcool durcit les vaisseaux sanguins, les veines, les artères,,les capillaires. Les pulsions ne seront plus transmises,l'élasticité sera réduite et les varices et troubles cardiaques apparaîtront plus facilement, ainsi que la couperose et les capillaires à fleur de peau. L'alcool gêne aussi la fixation de l'oxygène sur l'hémoglobine, le sang et les tissus du corps se trouvent donc rapidement sous-oxygénés.

- Le système digestif: plusieurs recherches ont montré que la consommation d'alcool augmente le risque de souffrir d'un cancer de la bouche, de la gorge, du larynx ou de l'oesophage. On soupçonne le contact direct entre l'alcool, les molécules d'éthanol et les cellules qui tapissent ces régions du corps d'être en cause. En effet, l'alcool endommagerait, voire détruirait certaines cellules et pourrait être responsable de cancers.

L'alcool conjugué au tabac multiplie les effets de l'un et de l'autre. 

L'alcool favorise aussi les poches sous les yeux, les rides par diminution de l'élasticité de la peau, mais aussi les accidents circulatoires (hypertension, accident vasculaire cérébral, etc.

À suivre...

 

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Addictions (2)

12 Décembre 2020 , Rédigé par Simpl'etsens Publié dans #Dossier

Addictions (2)

Une addiction...

...est la répétition d'un ou plusieurs actes susceptibles de provoquer du plaisir et de soulager un malaise intérieur.

Il ne faut pas la confondre avec la compulsion qui est le besoin irrépressible de faire quelque chose ou l'obsession qui se déroule dans la pensée.

Cependant, dans les trois cas, il y a une confusion entre le comportement et l'identité du sujet.

L'addiction est une maladie, car le sujet se retrouve dans l'incapacité de s'arrêter, et cela même s'il le désire.

Addictions (2)

Les addictions aux produits...

... se caractérisent par la consommation de substances permettant d'équilibrer, dans une certaine mesure, le circuit de la récompense.

l'usage de ces substances, comme le café, le tabac et les drogues, peut être considéré comme:

- simple: dans ce cas la consommation n'a qu'un effet passager non impactant sur le métabolisme. Par exemple: un café ponctuel.

- à risque: dans ce cas, la consommation peut occasionner des accidents. Par exemple: l'alcool.

- nocif: dans ce cas, il s'agit d'une consommation répétée sans dépendance. Par exemple: café quotidien.

- avec dépendance: dans ce cas, il y a atteinte de l'état pathologique d'addiction. L'arrêt de la consommation des substances incriminées va impacter fortement notre métabolisme.

Addictions (2)

Le tabac...

...fait partie des produits psychoaddictifs.

La mis en place de sa dépendance est d'autant plus rapide que sa consommation est associée à une fonction sociale, de groupe ou comportementale. Cette addiction tue chaque année 66 millions de personnes.

Le tabac est une plante importée d'Amérique lors de la découverte du continent et qui est maintenant cultivée sur l'ensemble du globe.

Cette plante contient de la nicotine, un alcaloïde qui met 8 secondes à atteindre le cerveau. Il procure une sensation de plaisir, abaisse le niveau de stress et stimule le système nerveux. c'est également une plante expectorante et coupe-faim.

Sa consommation régulière entraine une augmentation des récepteurs nicotiniques dans le cerveau et perturbe le circuit de production de la dopamine.

Au-delà de l'impact de l'alcaloïde, les gestes rituels produits par la consommation de cigarettes peuvent être d'une grande importance. Le sevrage tabagique peut être à l'origine d'une perte des repères sociaux et comportementaux.

Addictions (2)

Qu'il soit fumé, mâché, ou sous forme de tabagisme passif...

Le tabac est nocif car ses goudrons sont cancérigènes. Il contient des produits très toxiques:

- Des alcaloïdes, dont la nicotine qui détériore le système nerveux.

- Des métaux toxiques comme le cadmium qui est cancérigène.

- De l'arsenic dont les dérivés sont utilisés comme insecticides.

En brûlant, le tabac dégage de l'oxyde de carbone qui est un gaz asphyxiant qui se fixe sur l'hémoglobine en lieu et place de l'oxygène.

De plus, fumer augmente considérablement les besoins de l'organisme en vitamines et contribue aux carences en d'autres nutriments dont l'absorption est dépendante de la présence des vitamines. Les grands fumeurs présentent généralement des carences en vitamine C. Fumer une cigarette consomme 25mg de vitamine C. Même chose avec la vitamine E et la vitamine A. Comme la vitamine C est indispensable à l'assimilation du fer, cela conduit irrémédiablement à une cascade de déficits.

Le tabac est responsable du vieillissement prématuré de la peau, de la fragilisation du système vasculaire, des poches sous les yeux et d'un teint grisâtre de la peau.

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Artemisia annua (6 et fin)

2 Décembre 2020 , Rédigé par Simpl'etsens Publié dans #Dossier

Artemisia annua (6 et fin)

Et pour finir,

Faites connaissance avec "La Maison de l'Artemisia"

J'espère que ce dossier vous aura intéressé.

Bonne lecture!

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Artemisia annua (5)

30 Novembre 2020 , Rédigé par Simpl'etsens Publié dans #Dossier

Prête à offrir ses graines...

Prête à offrir ses graines...

Voici la 5ème vidéo

Il est temps de récolter les graines!

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Artemisia annua (4)

28 Novembre 2020 , Rédigé par Simpl'etsens Publié dans #Dossier

Artemisia annua (4)

Et à présent...

Passons à la récolte!

Lien ci-dessous

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Artemisia annua (3)

27 Novembre 2020 , Rédigé par Simpl'etsens Publié dans #Dossier

Artemisia annua (3)

Voici la 3ème vidéo concernant l'Artemisia annua

Après avoir semé, il est temps de repiquer l'Artemisia.

Voici les conseils de Kokopelli à l'aide du lien ci-dessous.

 

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